Stakes Winner 2

Chroniqué par Nicolas Gilles

Le retour de la vengeance. Après un premier épisode tout à fait dispensable, Saurus enfonce le clou et nous propose une suite… Ou un remake, on ne sait pas, tant il est identique à son prédécesseur.

Il faut toutefois savoir que les japonais sont très friands de ce genre de jeu. Ce qui est étonnant n'est donc pas vraiment l'existence d'un tel jeu et de sa suite, mais plutôt de sa présence outre Japon.

Le but est toujours le même : tapoter le bouton A pour faire avancer votre cheval (en utilisant les rênes), et utiliser le bouton B pour utiliser la cravache, qui donne de bons coups de vitesse mais se révèle également très friande en énergie. Car cette barre d'énergie est en fait tout l'intérêt du jeu : il faut la préserver pour garder la pole position jusqu'au bout sous peine de tuer votre cheval et perdre la course. Un peu de stratégie donc, mais aussi du doigté puisqu'il vous faudra éviter les collisions avec les adversaires pour perdre le moins de vitesse possible.


La maniabilité est un peu plus souple que dans le premier. En revanche, la position de votre cheval par rapport au scrolling ne vous laisse pratiquement pas le temps d'éviter les items. C'est bien dommage et surtout très énervant.

Ces items peuvent être positifs - plus de vitesse, de l'énergie, etc - et négatifs - vous êtes ralenti. Un item négatif, et vous pouvez considérer la course comme perdue ! Rageant, mais l'autre nouveauté est que sur une même course, leur emplacement est le même. A vous de mémoriser les bons items pour les prendre et vous faciliter grandement la victoire. Et si vous aimez parier sur les chevaux, vous pouvez aller faire un tour sur horse racing tips NZ histoire de récupérer quelques bon tuyeaux.

Vous pouvez maintenant choisir entre deux types de circuit au début du jeu : Europe ou Amérique. On y retrouve ainsi des noms connus comme Longchamp.
Les phases de bonus permettent toujours de booster les capacités de votre cheval. On en trouve quelques nouvelles, mais c'est toujours aussi limité.
Côté réalisation, c'est un peu mieux, mais c'est encore loin de casser des briques.