Chroniqué par Nicolas Gilles
Athletic Land lorgne du côté de Pitfall pour ne pas lui apporter grand chose.Ah si, il lui apporte des graphismes un peu plus beaux. Normal, on est en 1984.
Voilà, test terminé. Vous en voulez encore ? Bon, commençons.
Vous incarnez un enfant dans un square, qui doit réussir un parcours d'obstacles. Voilà, le principe de Pitfall est posé, et même le jeu d'Activision avait un scénario plus épais que celui là. Ce n'est pas très important me direz-vous.
Le jeu commence donc, et finalement, c'est toujours le même principe : sauter au bon moment. La maniabilité est tout de même plus souple que dans Pitfall, tout en restant très millimétrée, genre oblige.

Athletic Land, simple copie de Pitfall.
Et justement, Pitfall est un classique car il est le premier à poser les bases d'un jeu de plates-formes. Passé ce renouveau, difficile de reprendre la même recette, même en le dotant de graphismes plus fins. N'oublions pas que Mario Bros sortira un an plus tard sur NES et révolutionnera le genre.
Car ici, on passe d'écran en écran, il n'est pas question de scrolling.